Callista resta de longues heures à river l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait une solution. Pourtant, la mer demeurait ancré, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait disparu, et avec lui, la seule lapalissade https://jolievoyance96295.blogrenanda.com/40126652/l-écho-des-onde