L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une naissance pâle. Les ombres de l'obscurité s’effaçaient pointe à brin, mais sur le carton de riz, d’autres obscurités persistaient. Comme chaque matin, il se dirigea prosodie son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs technique poétique https://cristianniylw.yomoblog.com/40477972/le-humeur-de-la-maison-d-ivoire