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Les lignes qui persistent

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Chaque soir, Liora ravivait le pyrotechnie dans l’âtre orbite au coeur de son fabrique. Elle y jetait les passages de cuivre en vacarme, donnant les amours danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une souffle lente, une us née d’un fait ancien répété sans fin. https://milojaccb.mybjjblog.com/la-matière-qui-satisfait-46887740

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